Le Jeudi 25 novembre 2010 à 21:54

Si comme moi vous avez dévoré les livre lorsque vous aviez 11ans et que vous vous imaginiez aussi dans le fameux Poudlard Express avec votre baguette magique et que Harry Potter chutait sur vos genoux dans un virage et que c'était l'amour fou ♥ et que ...
Enfin bref, si vous avez adoré le livre, détesté les premiers films, boycotté les sorties des différents Harry Potter mais que ça y est, maintenant, vous avez oublié ce qu'est un Cracmol, le geste qui accompagne la formule Alohomora, alors vous êtes prêt(e)s à aller voir un film divertissant.
En fait j'avais oublié le livre (dans sa majeure partie ou presque) et je n'avais jamais vu que la première et la seconde adaptaton cinématographique d'Harry Potter et j'avais été très déçue de toutes les scènes manquantes surtout. Enfin. Harry Potter et les Reliques de la Mort partie I est un film finalement pas si long, pas ennuyant, qui apporte ses moments de rires, ceux de peur, et les sursauts habituels. Du suspense ou presque et avec des popcorn, ça se regarde. Vivement la suite en Juillet, on aura de nouveau tout oublié.
Je vous aurait bien calé une petite citation là mais ce serait spoiler alors pour pas me faire taper, ce sera tout... ou presque

+ BONUS :
http://farm3.static.flickr.com/2355/2329334845_bbddafc164.jpg

Article écrit par : joystickrose

Tags : harry potter, harry potter et les reliques de la mort partie I

Le Mardi 16 novembre 2010 à 21:03

http://nazebroque.cowblog.fr/images/soundofatlas.jpg

Ingrédients :

          - Un digeridoo enflammé aux saveurs lointaines et explosives.  (Jasper Atlas)
          - Un Jazzman dont les mélodies endiablées vous font regretter d’avoir abandonné les cours de sax à l’Ecole de Musique du coin, lubie passagère de vos 7 ans.  (Guilhem Verger)

               Lâchez vos fauves dans les rues Toulousaines, berceau des étudiants  fêtards aux sueurs sauvages. Entre le son et les basses qui font vibrer la ville, respirez le beatbox hypnotisant du digeridoo. Ecoutez et laissez vous emporter dans sa folle traversée tribale. Un bon batteur et un bon guitariste seront de mise pour compléter votre plat.


               Vous voici maintenant en possession de la bombe musicale la plus Toulousaine d’Australie :
Sound Of Atlas

A servir chaud, accompagné d’une bière fraiche et d’une bonne clope.

 

→ myspace

 

 



Article écrit par : JDTH

Tags : Digeridoo, Jazz, Beatbox, Toulousains, Cuisine

Le Mardi 16 novembre 2010 à 0:59

http://nazebroque.cowblog.fr/images/Rubber11.jpg
En lui parlant de Rubber, un ami m'a dit "je l'ai vu la semaine dernière. Pendant la séance, je me suis fait chier, mais pendant la nuit mon cerveau a assimilé le film. Le matin à mon réveil, je me suis dit que c'était un bon film."

Question 1 : comment l'histoire d'un pneu qui tue par télépathie peut-elle être emmerdante ?
Question 2 : comment un film de Quentin Dupieux, a.k.a. Mr Oizo, a.k.a. T'es-le-meilleur-je-te-veux-dans-mon-lit-tonight-baby, peut-il être emmerdant ?

En sortant de la salle, je me rue sur mon paquet de cigarettes en poussant un "wahou", à la fois d'admiration et de soulagement.
Pendant 1h25, on ne sait pas vraiment s'il faut rire ou non, s'il faut se cacher derrière son doudou ou non. On est figés devant ce long-métrage sans trop savoir comment on en est arrivés là, le temps s'est arrêté. Le temps n'existe pas d'après Stephen Spinella. La réalité n'existe pas.
"Tu as un alligator en peluche sous le bras.
-Ouais, et alors ?"

Rubber, c'est l'histoire d'un pneu qui tue par télépathie, ça tout le monde le sait. Pourtant quand on creuse un peu, on y trouve aussi du charme, de l'esthétisme, de la poésie, de la symbolique (que je m'abstiendrai d'étudier là tout de suite à chaud). Aussi surprenant soit-il, ce film a été tourné en deux semaines avec un appareil photo, et moi, j'ai juste envie de dire que c'est la classe.

Je vous laisse avec la terrible bande originale made by Mr Oizo & Gaspard Augé

Comme dirait Valérie Damidot, à bientôt mes gros lapins en sucre !!


Article écrit par : thetramp

Tags : Robert, Quentin Dupieux, Mr Oizo, Justice, pneu qui tue

Le Vendredi 12 novembre 2010 à 22:35

Il y a des jours où l’on croit que tout n’est jamais qu’un concours de circonstance.

En rentrant ce soir, dans la pénombre de 18h22, à la radio, sur France Inter, j’ai vaguement entendu qu’ils parlaient de Jacques Demy, réalisateur des Parapluies de Cherbourg. Puis je suis rentrée chez moi. Calée devant mon ordi, je mets aléatoirement la musique et je tombe sur une vieillerie. Curieuse pour une fois, je cherche sur deezer et je clique pour lire la critique des Inrock de l’album que j’écoutais. Je découvre alors que la chanteuse n’est autre que la nièce du compositeur des Parapluies de Cherbourg : Victoria Legrand de son nom et de sa voix qui s’associe à la guitare d’Alex Scally en 2004 pour fonder Beach House à Baltimore, là où ils se sont rencontrés. Mais ils ne sont pas en couple, et ils insistent.

http://nazebroque.cowblog.fr/images/beachhouseblog-copie-1.jpgAu début, ils ne tentent que d’enregistrer leurs chansons. Un an après, ils jouent dans les alentours de Baltimore puis enregistrent un album éponyme en deux jours : Beach House et très vite le groupe devient une ‘blog band’ et le site Pitchfork leur accorde le tag de ‘best new music’. En 2008, ils sortent un nouvel album : Devotion, puis avec un nouveau label, Teen Dream en 2010. Enregistré dans une église convertie de l'État de New York, l'album est sensiblement différent des deux premiers opus car il quitte l’ambiance musicale vaporeuse qu’on connaissait au groupe.
Musicalement, les deux premiers opus me font penser à Fleet Foxes et à Electrelane (dont je vous parlerai sans doute une autre fois), dans ce genre de musique folk à la fois torturée, lancinante et éthérée…Victoria Legrand possède une voix suave, terrible, accompagnée d’orgue (joué de ses mains), et de la guitare d’Alex Scally, elle donne naissance à des compositions légères et pesantes à la fois, c’est selon.

+ Myspace + Site Officiel

   

À écouter pour les séquences nostalgies et pendant les semaines de pluie.
Ou pour un grand voyage façon road trip américain.

http://nazebroque.cowblog.fr/images/roadtrip.png
 
Sur ce, bonne soirée à vous.

Article écrit par : joystickrose

Tags : beach house, folk, pluie

Le Mardi 9 novembre 2010 à 18:46

Comment vous dire, comment vous souhaiter la bienvenue autrement que par un basique bonjour suivi d’une virgule et d’un bienvenu, un peu comme ça : « Bonjour, bienvenus ! » (J’ai rajouté un point d’exclamation pour l’intonation de la voix, oui, on est content de vous recevoir ici !).
Bon, je vous introduis dans notre antre décorée façon loft des 70’, prenez place, j’annonce.
Nazebroque, c’est ici, et c’est un blogzine. Nous sommes pour l’instant 5 derrière ce projet et comme nos centres d’intérêts sont plus ou moins divergents, on va vous parler d’un peu tout, musique, mode, culture geek, bouquins, films, trucs débiles et futiles, enfin, on espère vous faire plaisir, vous procurer un moment de détente… de détention totale !



Article écrit par : nazebroque

Tags : présentation

<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast